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La Traverse - Grande Hall

@La grande Hall
@La grande Hall

La Traverse - Grande Hall

2019

La Ville de Nice a engagé en 2008 un projet de reconversion des 18 000 m2 de ses anciens abattoirs en un pôle de cultures contemporaines. Cette mutation a commencé par l’installation du collectif d’artistes – La Station qui défend l’art contemporain par la production et l’exposition. La mission de réflexion mise en place par la Ville, le Chantier Sang Neuf, a été concrétisée par la création et l’aménagement de lieux accueillant diverses actions de productions, de résidences et de manifestations temporaires, jusqu’en 2015. Aujourd’hui, 29 ateliers municipaux de plasticiens, le Forum d’Urbanisme et d’Architecture, l’Entre-Pont (fédération d’une quarantaine d’associations de spectacles vivants), la compagnie de danse Antipodes, le réseau d’art contemporain Alpes et Riviera Botox[s] et le syndicat des architectes de la Côte d’Azur (SACA) y sont également implantés.

@Aurore Balsa, Non pasa Tèmps, que no Revengue!, 2019
@Aurore Balsa, Non pasa Tèmps, que no Revengue!, 2019

Aurore Balsa

Non pasa Tèmps, que no Revengue!

Vidéo, 2019

7 jours, Printemps 2018, n°6-7 rue Rosseti, Nice, aux alentours de midi.

 

Nos corps voyagent à travers différents espaces et confrontent notre environnement. Ceux-ci en fonction des époques, mêlent des notions de vie privée, vie publique, urbanisme et féminisme.  Non pasa Tèmps, que no Revengue! propose d’explorer et de vivre ces changements.

@ Botto & Bruno, The ballad of forgotten places, 2019
@ Botto & Bruno, The ballad of forgotten places, 2019

Botto & Bruno

The ballad of forgotten places

Installation in situ, dessins, livres, 2019

L’installation est conçue comme un espace dans lequel le public peut librement entrer et déambuler, immergé dans un paysage suburbain oxydé et vieilli. Au centre de l’installation, un ouvrage recueille les images produites ou rassemblées par les artistes : des prises de vues de nombreux lieux aujourd’hui disparus, transformés, oubliés, endroits marginaux, zones industrielles ou jardins urbains situés à la périphérie de la ville.

 

Prêt de la Fondation Merz

@Mania Akbari & Douglas White, A moon for my father, 2019
@Mania Akbari & Douglas White, A moon for my father, 2019

Mania Akbari & Douglas White

A moon for my father

Film, 60' 25 minutes, 2019

Mania Akbari collabore avec le sculpteur britannique Douglas White pour créer un film sur une relation artistique et personnelle approfondie explorant la nature de la peau, la famille, la mort, le désir et une volonté puissante de se former. Mania Akbari examine le lien entre son corps et l’histoire politique de l’Iran, la relation entre ses  traumatismes physiques et la mémoire politique collective de son pays d’origine. Alors qu’elle subit des chirurgies sur un corps décimé par le cancer, la mémoire et la reconstruction fournissent un cadre pour enquêter sur la façon dont les corps sont traumatisés, censurés et politisés, tout en restant finalement un espace de possibilités.