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Projet Cosmopolis | Instituts culturels étrangers & Centres culturels internationaux

Unboxing, 2022 © Romain Carré
Unboxing, 2022 © Romain Carré

Projet Cosmopolis | Instituts culturels étrangers & Centres culturels internationaux

2022

Le projet Cosmopolis initié en 2021 à l’hôtel WindsoR réunit Instituts culturels étrangers (sous l’égide du FICEP),  les Centres culturels internationaux et les Amis d’OVNi. Chaque chambre, propose des projets curatoriaux d’art vidéo.

 

Saint Sebastian, 2021 © Mykhaylo Barabash
Saint Sebastian, 2021 © Mykhaylo Barabash

Mykhaylo Barabash

Saint Sebastian

2021 - Couleur

Institut ukrainien

Le projet Saint Sebastian est une installation multimédia interactive. Son objectif principal est de révéler le potentiel des technologies numériques dans la manifestation artistique d’expériences et de phénomènes spirituels. Dans ma recherche artistique, je vais travailler sur la question de la sacralité/spiritualité en me concentrant sur le thème du martyre à l’image d’un des thèmes religieux importants et répandus dans l’art « Martyre de Saint Sébastien ».

 

Mykhaylo Barabash participe au Festival dans le cadre de la coopération avec le Printemps Ukrainien. Soutenu par l’Institut ukrainien.

 

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I love Ice Cream, 2021 © Mehdi Gorbuz
I love Ice Cream, 2021 © Mehdi Gorbuz

Mehdi Gorbuz

I love Ice Cream

2022 - 11’ - Couleur

Centre Wallonie Bruxelles

Certaines personnes n’ont aucun problème à dire « Je t’aime ». Ces mots leur viennent naturellement. D’autres ont plus de mal à les prononcer, ne serait-ce qu’une seule fois, à la personne qu’iels aiment. Mais que cela soit facile ou non, l’important est de comprendre que l’amour n’est rien sans action.

Alors, que signifie réellement l’expression « l’amour est action » ? Comment montrer à quelqu’un.e que vous l’aimez ?

 

Site Internet

Reveal, 2020 © Jun Qiang NIU
Reveal, 2020 © Jun Qiang NIU

Jun Qiang NIU

Reveal

2020 - 18’30” - Couleur

Centre Culturel de Taïwan

Reveal traite de la correspondance entre les images de la conscience interne et les images externes. Cette correspondance est dérivée des expériences religieuses et de l’exploration de l’inconscient collectif. Je discute de la vision comme d’un mode d’existence. Je considère qu’il ne s’agit pas d’une représentation de l’expérience mystique, mais plutôt d’éteindre la lumière initialement allumée dans une pièce et d’ouvrir la fenêtre – pour que la lumière extérieure puisse briller à travers.

 

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1’59 – Let’s make it honey !, 2022 © Eun Me Ahn
1’59 – Let’s make it honey !, 2022 © Eun Me Ahn

Eun Me Ahn

1’59 – Let’s make it honey !

2022 - Couleur

Centre Culturel Coréen

Projet chorégraphique

« 1’59 – Let’s make it honey ! » 50 mini-créations, sur une idée de Eun Me Ahn, Centre Culturel Coréen, 4 novembre 2022, Paris.

 

Partant de l’idée que la création artistique, qu’elle soit individuelle ou collective, est un puissant vecteur de l’expression de soi, la chorégraphe coréenne Eun Me Ahn affirme que chacun peut prétendre à cet espace d’expression et de vie, que ce soit de manière professionnelle ou non. Reste que pour parvenir à son terme, la création a besoin de s’adresser à un public. C’est une rencontre, parfois un don, pas toujours facile à accueillir. Néanmoins, cet instant est sans nul doute le moment d’échange le plus important d’une vie, à la fois le plus difficile et le plus jubilatoire. Ce projet de saynètes est une réflexion sur l’état de nos sociétés contemporaines.

 

 

Eating and Killing and Marrying, 2017 © HYPERCOMF
Eating and Killing and Marrying, 2017 © HYPERCOMF

HYPERCOMF

Eating and Killing and Marrying

2017 - 02'23" - Couleur

Centre Culturel Hellénique

« Eating and killing and marrying » est un court métrage créé à l’aide d’éléments de rotation mécaniques et d’accessoires provenant des archives photographiques familiales personnelles de l’artiste ainsi que d’objets trouvés échoués sur les plages de l’île de Tinos où l’artiste réside. Ces objets sont placés dans un mouvement perpétuel apparent, ils représentent ce que seraient les futurs artefacts historiques de l’humanité. Le film soulève la question du choix personnel ou collectif d’essayer d’archiver dans une perspective historique ce quque nous laisserons réellement derrière nous comme preuve de notre époque et de notre culture. Certains plastiques ont la même durée de vie que les objets en pierre, la photographie et les données numériques sont périssables et l’histoire a inévitablement tendance à tirer des conclusions générales sur les générations passées. Le film étudie notre idée du présent pour tendre vers une référence future.

 

Site Internet

Historical examples série  #1-5, 2017 © HYPERCOMF
Historical examples série #1-5, 2017 © HYPERCOMF

HYPERCOMF

Historical examples série #1-5

2017 - De 03'12" à 10'32" - Couleur

Centre Culturel Hellénique

La série « Historical examples » met en scène des objets et des matériaux dans des rôles animés dans une interprètation dramatique de récits violents inspirés des schémas historiques et récurrents des interactions sociales entre humains. Les protagonistes de ces récits, sont des objets, ici des chaussures jetées, choisis pour leur pouvoir d’allusion au corps errant et leurs styles liés aux phénomènes culturels. La mise en scène privilégie un rythme inconfortable pour le spectateur. Les objets au cœur de l’action sont méticuleusement cadrer selon des codes publicitaires étranges afin d’informer notre cerveau social individuel.

Among Us, 2022 © Eva Papamargariti
Among Us, 2022 © Eva Papamargariti

Eva Papamargariti

Among Us

Centre Culturel Hellénique

« Among Us, Among Others » est une installation à 4 canaux, commandée par la Fondation Onassis.
Présentée à l’origine dans le cadre de l’exposition Plásmata : Bodies, Dreams, and Data, organisée par la Fondation Onassis à Athènes, 2022.

 

Site Internet

Transformative Encounters © Eva Papamargariti
Transformative Encounters © Eva Papamargariti

Eva Papamargariti

Transformative Encounters

Centre Culturel Hellénique

« Transformative Encounters » est une courte narration visuelle comprenant du matériel d’animation 3d, des enregistrements vidéo et des éléments poétiques qui font référence à une multitude de corps et à leurs rencontres consécutives avec un organisme inconnu qui se produit lorsqu’ils se croisent, se nourrissent, se touchent, s’altèrent, se jettent, contiennent, compartimentent et reconnaissent la corporalité des autres. Une xéno-entité et ses caractéristiques anatomiques abstraites deviennent la figure centrale de la narration alors qu’elle tente d’observer, de se lier et de communiquer avec les autres.
Présenté sur linkcabinet.eu du 24 janvier au 25 février 2018.

 

Site Internet

Unboxing, 2022 © Romain Carré
Unboxing, 2022 © Romain Carré

Romain Carré

Unboxing

2022 - 20’33’’ - Couleur

Laboratorio Arts contemporains

Dans un futur proche dystopique, une youtubeuse anonyme réalise un unboxing. Les colis et lettres qui lui parviennent, retracent un à un l’époque dans laquelle elle évolue. Celle-ci, esquissée de manière détournée, recèle d’ambiguïtés. La gravité des faits associés à cette matière est lue avec légèreté, sur le ton du divertissement. Unboxing forme un paysage par l’objet qui, à la manière du musée, tisse un discours le long d’artefacts isolés du Monde.

 

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Elle aurait voudrait, 2021 © Constrictor
Elle aurait voudrait, 2021 © Constrictor

Hormoz

Elle aurait voudrait

2021 - 7'00" - Couleur

Constrictor

Elle danse intranquille. Il rampe. Le fauteuil roulant est immobile. 

 

Un film chorégraphié par Luigia Riva, allégorie de l’ère masquée Covid, alors qu’une nouvelle donne imprègne le désir sexuel et le handicap-affectif.

 

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COVID-19 ISOLATION JOURNAL, 2022 © Irene Pittatore
COVID-19 ISOLATION JOURNAL, 2022 © Irene Pittatore

Irene Pittatore

COVID-19 ISOLATION JOURNAL

2022 - 40'00" - Couleur

Forme in bilico

Curatrice : Isabelle Demangeat

 

Que faire si le robinet de la cuisine se casse pendant le confinement ?

Un vidéo-journal en 21 chapitres sur l’ironie domestique, l’obsession de désinfecter, l’enfermement et l’évasion. La série a été filmée avec un smartphone, le seul appareil à disposition de l’artiste pendant les mesures d’urgence prises en réponse à l’épidémie de Covid-19. Le corps enfermé et les objets du quotidien, la baignoire, l’évier puis une fontaine publique composent la syntaxe décalée de ce journal intime.

 

Pour en savoir plus sur les artistes :

 

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Cette œuvre est soutenue par la sociation Forme In Bilicco, une association culturelle de promotion sociale – pour une circulation des idées entre les mondes de l’éducation, de l’art, de l’école et de la thérapie.

 

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Lisa, I Like the Hood, 2017 © Frédéric Naucyciel, Lisa Revlon, courtesy Cité internationale des Arts de Paris
Lisa, I Like the Hood, 2017 © Frédéric Naucyciel, Lisa Revlon, courtesy Cité internationale des Arts de Paris

Frédéric Naucyciel

Lisa, I Like the Hood

2017 - 2'37'' - Couleur

Citée internationale des arts de Paris

Ce travail s’inscrit dans le programme Safe Places, commencé en 2018 avec l’Espace Khiasma et les Ateliers Médicis.

Le Chapitre 1 à été réalisé à la Cité Internationale des Arts, dans le cadre d' »Artiste  Associé ». Le Chapitre 2 à été réalisé à l’invitation du Centre d’art de la Ferme du Buisson.

Frédéric Nauczyciel, artiste visuel, et Lisa Revlon, icône de la scène ballroom de Baltimore, produisent un ensemble de rencontres pour déployer le récit complexe de Lisa Revlon, qu’elle résume ainsi : « The Crying Game » rencontre « The Wire ». Ou le secret d’une femme « de différence », dans la ville de Baltimore, connue pour sa corruption et le deal de drogue.

Lisa Revlon est femme transgenre et activiste vivant à Baltimore, plongée à un moment de sa vie dans le transport de drogue, faits pour lesquels elle a purgé une peine de prison. Elle est une figure emblématique d’une ville comme Baltimore, des espaces périphériques (urbains) et de la féminité. Aujourd’hui au clair avec la société, avec l’accord de ses avocats, elle tente de rassembler dans un récit complexe ces deux aspects de sa vie. A sa façon, par son amour du ghetto, elle prend le contrôle de sa vie et assure une stabilité à son entourage.

 

Instagram Frédéric Naucyciel

Plus d’informations sur la Cité internationale des Arts de Paris 

Reconnexion Spirituelle des Politiques Africaines © Wilfried Nakeu
Reconnexion Spirituelle des Politiques Africaines © Wilfried Nakeu

Wilfried Nakeu

Reconnexion Spirituelle des Politiques Africaines

Yaounde photo network

OMSORGEN, The Care, 2020 © Anna-Karin Rasmusson
OMSORGEN, The Care, 2020 © Anna-Karin Rasmusson

Anna-Karin Rasmusson

OMSORGEN (The Care)

2020 - 9'23" - Couleur

FilmForm

FILMFORM

Avec le support de l’Institut Culturel Suédois

 

Filmform se consacre depuis 1950 à la préservation, la promotion et la distribution mondiale de films expérimentaux et d’art vidéo. En constante évolution, le catalogue s’étend de 1924 à aujourd’hui et comprend des œuvres d’artistes, de cinéastes et de vidéastes les plus éminents de Suède.

 

« Care » est une performance ritualisée ayant pour thème l’exposition du soi dans la relation à l’autre, exprimant selon le point de vue, la dépendance ou l’ascendance de l’être social. Il en va également de l’alternance des rôles dans l’espace de l’intime. L’artiste rejoue le parcours de la naissance, la plus grande des séparations, à l’évolution physique de l’individu. Ce qui semble attraction devient douleur et tend à se fissurer, dans une atmosphère sanguine et de flux vital. Anna-Karin Rasmusson performe le cycle à l’infini (?) de l’incarnation humaine.

 

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