Website map

Website map

L’Oeil d’Oodaaq

L’Oeil d’Oodaaq

2015

Oodaaq’s selection is an outline of what kind of experimental videos can be programed and seen during the Oodaaq’s Festival. It is a various and disparate set of nomadic and poetic images, reflecting the diversity of points of views that can arise from Oodaaq’s island. Its is different forms as film and numeric. Documentary or fiction, abstraction or representation. Oodaaq’s selection, presented in numerous festivals in France and overseas, and also during learning interventions, claims to be a thinking tool upon the process, the emergence and perception of images nowadays, in all possible forms. 

@Giancula Abbate, Panorama, 2014 - séléction l'oeil d'Oodaaq
@Giancula Abbate, Panorama, 2014 - séléction l'oeil d'Oodaaq

Giancula Abbate

Panorama

Vidéo, son, 7' min, 2014

« La ville, sous sa forme préalable, est en train de bouger. Les grandes mégapoles sont des mondes, on y retrouve toutes les ethnies, toutes les cultures, toutes les religions. En même temps, le monde lui­ même devient une ville. » Marc Augé

@Christian Niccoli, Untitled, 2013 - selection l'Oeil d'Oodaaq
@Christian Niccoli, Untitled, 2013 - selection l'Oeil d'Oodaaq

Christian Niccoli

Untitled

Vidéo, son, 4'10 min, 2013

En Islande, au beau milieu d’un paysage désertique, un homme se fait déposer par hélicoptère. Entre sobriété et absurdité, la vidéo se veut un questionnement existen­tiel, une métaphore du moment où nous nous faisons propulser dans la vie.

@Ailbhe Ni Bhriain, Window, 2013 - séléction de l'Oeil d'Oodaaq
@Ailbhe Ni Bhriain, Window, 2013 - séléction de l'Oeil d'Oodaaq

Ailbhe Ni Bhriain

Window

Vidéo, son, 10 ’3 min, 2013

Combinant prises de vue et images de synthèse, Ailbhe Ni Bhriain imbrique des espaces dans un habile jeu d’associations formelles. Il en résulte des vidéos au sens mystérieux et hermétique, empreintes d’onirisme et de poésie.

@kevin Senant, Irrigation, 2009 - sélection de l'Oeil d'OOdaaq
@kevin Senant, Irrigation, 2009 - sélection de l'Oeil d'OOdaaq

Kévin Senant

Irrigation

Vidéo, son, 5 ’28 min, 2009

Irrigation mêle extraits de films d’auteur, de publicités et de vidéos Youtube. Kevin Senant questionne notre positionnement devant ces images et le contenu qu’elles véhiculent, faisant de nous des «regardeurs regardés», en écho au film des frères Lumière «L’arroseur arrosé».

@Magda Gebhardt, Atlas, 2013 - sélection de l'Oeil d'Oodaaq
@Magda Gebhardt, Atlas, 2013 - sélection de l'Oeil d'Oodaaq

Magda Gebhardt

Atlas

Vidéo, son, 8'min, 2013

Un plan séquence d’enchainement de paysages, dans lequel le processus de création est mis à nu. Pour l’artiste, ses gestes de superposition et de recouvrement s’apparentent à ceux du peintre, paral­lèle qui évoque la naissance du genre du paysage.

@Sylvia Winkler, Stephan Koeperl, Smart Songdo Song, 2014 - sélection de l'Oeil d'OOdaaq
@Sylvia Winkler, Stephan Koeperl, Smart Songdo Song, 2014 - sélection de l'Oeil d'OOdaaq

Sylvia Winkler, Stephan Koeperl

Smart Songdo Song

Vidéo, son, 5’30 min, 2014

Construit sur un terrain privatisé, géré par une seule entreprise, financé par des investisseurs multinationaux: les villes deviennent des produits négociables soumis aux locaux des marchés. Pourtant, les gens trouvent des moyens élégants face à ces dures réalités. À New Songdo City, une zone économique spéciale sud-coréenne, nous réfléchissons à ce développement sur une mélodie hard rock éprouvée.

@Thorsten Fleisch, Picture Particles, 2014 - selection de l'Oeil d'Oodaaq
@Thorsten Fleisch, Picture Particles, 2014 - selection de l'Oeil d'Oodaaq

Thorsten Fleisch

Picture Particles

Vidéo couleur, montage Super 8, son, 5’45 min, 2014

Des éléments individuels provenant d’un support d’informations visuelles ont été isolés pour construire des réactifs visuels alternatifs. La répétition dans l’espace et dans le temps est administrée comme un liant pour apprivoiser les particules sauvages en mouvement, évoquant un nombre d’or de l’œil de l’esprit. Pour ce film, des images Super 8 constituent le matériau source, découpé, étudié plus en détail avec d’autres formats de film au moyen d’une impression optique et d’une nouvelle prise de vue du matériau projeté.

@Emmanuel Piton, Pierre-Manuel Lemarchand, Fovea, 2014 - sélection de l'Oeil d'Oodaaq
@Emmanuel Piton, Pierre-Manuel Lemarchand, Fovea, 2014 - sélection de l'Oeil d'Oodaaq

Fovea

Vidéo, son, 8 ’53 min, 2014

Fovéa montre des résidus de réalité, ses traces telles qu’elles peuvent ressurgir dans un songe.

Eclats de lumière qui révèlent une présence humaine, fragmentée, vivante cependant, architectures réduites aux structures, comme après le souffle d’une bombe. Un monde débarrassé du superflu, réduit au silence… Le temps d’un geste, un corps se confronte au souvenir d’un lieu qui n’a peut-être jamais existé. L’espace vacille et la mémoire se perfore. Fovéa est la zone de la rétine où la vision des détails est la plus précise.

@Clint Enns, The Everden, 2013 - selection de l'Oeil d'Oodaaq
@Clint Enns, The Everden, 2013 - selection de l'Oeil d'Oodaaq

Clint Enns

The Everden

Vidéo, son, 16’33 min, 2013

« … Une tentative de fournir de nouvelles façons de visualiser et de conceptualiser les espaces avec lesquels les gens sont familiers. Le familier, par définition, est intériorisé. En rendant le familier séparé, il est possible de le réévaluer. L’obscurantisme et la décontextualisation sont deux des principales stratégies que j’emploie dans mon travail pour éloigner le familier ».

@Olivier Jagut, Hawaï Polis Static, 2009 - sélection de l'Oeil d'Oodaaq
@Olivier Jagut, Hawaï Polis Static, 2009 - sélection de l'Oeil d'Oodaaq

Olivier Jagut

Hawaï Polis Static

Vidéo, son, 4’20 min, 2009

John Wayne revient au pays avec une idée derrière la tête.